Tuesday, January 29, 2013


Peinture en passant.
Comme parti de ses continues recherches sur l’imaginaire visuel de la vie urbaine, Vergara a choisi de poser son regard sur les couvertures
de magazines et posters dans son entourage plus proche : le Paris du 21ème siècle. Vergara ce transforme dans un peintre
flâneur qui prend, par le biais d’une « mimesis » ironique, les manières dans lequelles cettes publications pas seulement apprope l’espace
public si non aussi le donne la definition d’être et de vivre d’une société à un moment spécifique.
Pendant ces appropriations ,l’artiste essaie de déchiffrer les stimules esthétiques a lesquelles lui être expose, mais de la même manière,
l’artiste essaie de rester dans une distance critique sur les formes agressives qui voir le commerce de corps et esthetiques Les
interventions dans l’espace public avoir un caractère ludique et éphémère, que est ce ça le que l’artiste attendre comme vie pour ces
ouvres. Intervention dans l’espace public que van a finir en deux expositions expositions de peinture, en deux kiosque de journaux à Paris
pendant le mois de Juin 2012.La premier exposition de peinture dans un kiosque de journaux. Un geste avec lequel l’artiste rendre a
l’espace public lequel il a pris dans son chemin pour la rue.
Peut etre cette peinture de la « ville moderne »,dont l’artiste parle, est un type de peinture qui est déjà lasse de la peinture même.
Cependant pour l’artiste, la peinture reste le meilleur support : c’est le principal outil d’analyse de tout ce qui l’entoure. Il ne conceptualise
pas d’ exigences formelles sur la manière dont quelque chose doit représente ou montrée. Vergara peint ce qu’il trouve, ce qui passe,
ce qui le séduit. Et il avec effets, passion et débordements. Cette exposition dessine précisément sa capacité de transformer presque
chaque visuel en un portrait enjoué de sa propre vie. C’est cela, peindre l’attitude- et avec attitude !

Miguel A. Lopez
Lima, Junio 2012

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