Autel Vierge Paris.
AUTEL VIERGE PARIS (Paris, décembre 2009)
Ce travail est la continuité de ma recherche et mon utilisation des images (photocopies de magazines de mode, bandes dessinées, pochettes de disques, couverture de livres, etc). J’utilise cette mécanique pour mon travail, l’« archive-collage » (Lima, Pérou, 2007-2008 ; Paris, France, 2009).
Pour mes derniers travaux, j'ai collecté les images dans la rue, dans le métro parisien, en librairie, et surtout des images à fort impact visuel selon moi. J'utilise le hasard, l'archive, la documentation et l'accumulation de toutes ces images pour faire une composition murale ; c’est la réponse à l'urgence et la nécessité de continuer ma propre création artistique. Cette urgence m’offre comme possibilité d’utiliser un espace intime telle ma propre chambre que j'utilise comme atelier. Par ce travail, je parle de l'utilisation de l'espace, d’une appréhension physique, comme je me déplace en face de mon propre travail, en face de l’oeuvre d'art.
Le résultat s'appelle « AUTEL VIERGE PARIS », un autel de la vie quotidienne, de l’intimité, des affinités personnelles, un autel que j'ai fait de façon à recréer ma propre chambre à Paris avec toute l'accumulation de mes affaires personnelles : chaussures, vêtements, livres, pochettes de disques, bandes dessinées, CD, images religieuses, etc. C’est la raison pour laquelle je donne la dénomination religieuse de « autel » à cette accumulation d’images que je colle au mur. Ce travail traduit une forte influence de l'environnement. Ma personnalité et mon propre goût se retrouvent à travers les images des photocopies de magazine de mode, de pochettes de disques et des peintures à l’huile.
La photocopie de bandes dessinées qui parlent de Paris me donne l’opportunité de construire un contexte délimité.
J'utilise l'expérience artistique pour parler d'une expérience personnelle par l’appropriation et la ré interprétation des images. L'urgence de faire une œuvre d'art me transforme en un plasticien qui utilise la recherche de matériaux et l'expérimentation de différents types de supports comme le mur de l'atelier et/ou de la galerie d'art. J'utilise différentes techniques comme la peinture à l'huile, le collage, etc.
C'est la raison pour laquelle une certaine hétérogénéité se retrouve dans mon travail, par l'utilisation de la toile, de la photocopie, du texte et de l'image.
Juan Diego Vergara
Artiste Plasticien
Ce travail est la continuité de ma recherche et mon utilisation des images (photocopies de magazines de mode, bandes dessinées, pochettes de disques, couverture de livres, etc). J’utilise cette mécanique pour mon travail, l’« archive-collage » (Lima, Pérou, 2007-2008 ; Paris, France, 2009).
Pour mes derniers travaux, j'ai collecté les images dans la rue, dans le métro parisien, en librairie, et surtout des images à fort impact visuel selon moi. J'utilise le hasard, l'archive, la documentation et l'accumulation de toutes ces images pour faire une composition murale ; c’est la réponse à l'urgence et la nécessité de continuer ma propre création artistique. Cette urgence m’offre comme possibilité d’utiliser un espace intime telle ma propre chambre que j'utilise comme atelier. Par ce travail, je parle de l'utilisation de l'espace, d’une appréhension physique, comme je me déplace en face de mon propre travail, en face de l’oeuvre d'art.
Le résultat s'appelle « AUTEL VIERGE PARIS », un autel de la vie quotidienne, de l’intimité, des affinités personnelles, un autel que j'ai fait de façon à recréer ma propre chambre à Paris avec toute l'accumulation de mes affaires personnelles : chaussures, vêtements, livres, pochettes de disques, bandes dessinées, CD, images religieuses, etc. C’est la raison pour laquelle je donne la dénomination religieuse de « autel » à cette accumulation d’images que je colle au mur. Ce travail traduit une forte influence de l'environnement. Ma personnalité et mon propre goût se retrouvent à travers les images des photocopies de magazine de mode, de pochettes de disques et des peintures à l’huile.
La photocopie de bandes dessinées qui parlent de Paris me donne l’opportunité de construire un contexte délimité.
J'utilise l'expérience artistique pour parler d'une expérience personnelle par l’appropriation et la ré interprétation des images. L'urgence de faire une œuvre d'art me transforme en un plasticien qui utilise la recherche de matériaux et l'expérimentation de différents types de supports comme le mur de l'atelier et/ou de la galerie d'art. J'utilise différentes techniques comme la peinture à l'huile, le collage, etc.
C'est la raison pour laquelle une certaine hétérogénéité se retrouve dans mon travail, par l'utilisation de la toile, de la photocopie, du texte et de l'image.
Juan Diego Vergara
Artiste Plasticien
posted by juan diego vergara at 1:11 AM
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