Monday, June 25, 2012
los invito a visitar esta direccion de la historiadora de arte peruana ,Rosa Maria Vargas,con un articulo sobre mis exposiciones en Paris,2012.
Thursday, June 21, 2012
Bilan de ma première expérience d’intervention dans l’espace public, la « première exposition de peinture dans un kiosque de journaux »
Bilan de ma première expérience d’intervention dans l’espace public, la « première exposition de peinture dans un kiosque de journaux » avec la série de peintures a huile, réinterprétation des couvertures des magazines. Dans les kiosques à journaux à Place du palais royal et Bvd Henri IV. Paris Juin 2012.
Le première objectif de cette expérience est la nécessité personnelle comme peintre de faire revenir les images qui m’ont inspiré pour réaliser ma série des réinterprétations de couvertures (tableaux a huile) dans le kiosques à journaux. Les couvertures de magazines retournent à leur lieu d’origine, de naissance pour moi, le kiosque de presse. Action que, dans ’art contemporain, on nomme intervention dans l’espace public. Cela crée un décalage, une rupture, d’abord dans l’utilisation traditionnelle du kiosque à journaux et surtout décalage entre les images d’origine et les peintures à l’huile. Je ne cherche pas vraiment à produire cet effet, peut-être parce que mon intention comme artiste plasticien est plus proche de l’esthétique, comme me dit un ami « ton côté romantique ». Ce sont le qui réagissent à ce décalage. Il existe deux groupes différents de visiteurs de mon exposition. Le premier groupe : les clients qui se sont trompés et qui cherchent seulement à acheter un journal et partir très vite, car il est très difficile de changer l’action automatique des gens d’acheter leurs journaux et de partir, de ne pas s’arrêter et regarder, ce qui se trouve autour du kiosque, les couvertures, la photo de couvertures, car le parisien n’a pas l’habitude de lire les titres des journaux, habitude peut être plus sud-américaine. C’est avec ces visiteurs, que mon intervention dans l’espace public fonctionne le mieux parce que eux sont surpris, voient la rupture avec l’habitude. L’autre type de visiteurs est composé des gens qui s’arrêtent, attirés par les tableaux et pour le lieu dans lequel se trouvent les peintures, la manière dont elles sont disposées. Avec eux l’objectif de mettre la technique classique de la peinture à l’huile au niveau du banal, de l’environnement urbain et de la publicité, est atteint : ils ont compris très vite le nouvel usage du kiosque comme une galerie d’art, comme intervention dans l’espace public, comme concept, qu’ils trouve très intéressant, avec tout le temps avec une phrase positive (l’idée me plaît beaucoup, original, bravo, magnifique, très original, très drôle). Après avoir regardé mes tableaux, ils sont restés pour le plaisir de voir et de faire des photos – souvenirs. Ils en gardent l’expérience d’une rupture dans l’utilisation d’un kiosque à journaux, usage déjà établi par l’habitude.
Expérience au Place du Palais Royal :
Le kiosque au numéro 2 Place du palais royal, 75001, est une petite cabine, style de kiosque traditionnel parisien, situé dans l’angle avec la rue St. Honoré, en face du Musée du Louvre à Paris, du Lundi 4 au Dimanche 10 juin 2012. Dans ce petit kiosque je n’arrive pas à accrocher toute la série des couvertures de magazines, j’ai choisi les tableaux les plus représentatifs. La localisation du kiosque est en face de la sortie du métro Palais Royal ligne 7 ; il était inévitable que le gens regardent le kiosque parce qu’il est en face de l’escalier de la sortie de métro. Un lieu très touristique, chemin obligatoire des touristes du monde entier pour aller au Louvre. Les touristes s’arrêtent attirés par la nouveauté de voir des peintures à l’huile dans un kiosque de journaux, mais le message est plus direct avec les parisiens grâce à la réinterprétation dans les couvertures de magazines locaux ,les messages sur les couvertures des magazines comme têtu, les inrockuptibles, etc. Ils sont compris très vite cette installation, cette nouvelle manière de présentation d’une couverture. La surprise, l’acceptation et la félicitation pour l’idée sont arrivées très vite. Bien sûr aussi l’indifférence aussi des passants, cela arrive, mais le cote positive est plus important. Cela s’est très bien passé, la première fois qu’a été réussie cette manière d’utiliser le kiosque : la première exposition dans un kiosque de journaux.
Expérience au kiosque à journaux 12 Bvd Henri IV. 75004. Lundi 11 au Dimanche 17 Juin 2012.
Un kiosque plus grand style années quatre vingt, une grande cabine, dans la quelle j’ai pu montrer toute la série complète des réinterprétations de couvertures des magazines. C’est un passage plus tranquille, proche de la sortie du métro Sully Morland Ligne 7. Là aussi de réponses positives comme indifférentes. La localisation est plus difficile parce que le lieu est moins touristique, passant, les gens marchaient vite le long d’un mur en face du kiosque, mais de la même manière les gens ont trouvé intéressant le concept, l’idée.
Le première objectif de cette expérience est la nécessité personnelle comme peintre de faire revenir les images qui m’ont inspiré pour réaliser ma série des réinterprétations de couvertures (tableaux a huile) dans le kiosques à journaux. Les couvertures de magazines retournent à leur lieu d’origine, de naissance pour moi, le kiosque de presse. Action que, dans ’art contemporain, on nomme intervention dans l’espace public. Cela crée un décalage, une rupture, d’abord dans l’utilisation traditionnelle du kiosque à journaux et surtout décalage entre les images d’origine et les peintures à l’huile. Je ne cherche pas vraiment à produire cet effet, peut-être parce que mon intention comme artiste plasticien est plus proche de l’esthétique, comme me dit un ami « ton côté romantique ». Ce sont le qui réagissent à ce décalage. Il existe deux groupes différents de visiteurs de mon exposition. Le premier groupe : les clients qui se sont trompés et qui cherchent seulement à acheter un journal et partir très vite, car il est très difficile de changer l’action automatique des gens d’acheter leurs journaux et de partir, de ne pas s’arrêter et regarder, ce qui se trouve autour du kiosque, les couvertures, la photo de couvertures, car le parisien n’a pas l’habitude de lire les titres des journaux, habitude peut être plus sud-américaine. C’est avec ces visiteurs, que mon intervention dans l’espace public fonctionne le mieux parce que eux sont surpris, voient la rupture avec l’habitude. L’autre type de visiteurs est composé des gens qui s’arrêtent, attirés par les tableaux et pour le lieu dans lequel se trouvent les peintures, la manière dont elles sont disposées. Avec eux l’objectif de mettre la technique classique de la peinture à l’huile au niveau du banal, de l’environnement urbain et de la publicité, est atteint : ils ont compris très vite le nouvel usage du kiosque comme une galerie d’art, comme intervention dans l’espace public, comme concept, qu’ils trouve très intéressant, avec tout le temps avec une phrase positive (l’idée me plaît beaucoup, original, bravo, magnifique, très original, très drôle). Après avoir regardé mes tableaux, ils sont restés pour le plaisir de voir et de faire des photos – souvenirs. Ils en gardent l’expérience d’une rupture dans l’utilisation d’un kiosque à journaux, usage déjà établi par l’habitude.
Expérience au Place du Palais Royal :
Le kiosque au numéro 2 Place du palais royal, 75001, est une petite cabine, style de kiosque traditionnel parisien, situé dans l’angle avec la rue St. Honoré, en face du Musée du Louvre à Paris, du Lundi 4 au Dimanche 10 juin 2012. Dans ce petit kiosque je n’arrive pas à accrocher toute la série des couvertures de magazines, j’ai choisi les tableaux les plus représentatifs. La localisation du kiosque est en face de la sortie du métro Palais Royal ligne 7 ; il était inévitable que le gens regardent le kiosque parce qu’il est en face de l’escalier de la sortie de métro. Un lieu très touristique, chemin obligatoire des touristes du monde entier pour aller au Louvre. Les touristes s’arrêtent attirés par la nouveauté de voir des peintures à l’huile dans un kiosque de journaux, mais le message est plus direct avec les parisiens grâce à la réinterprétation dans les couvertures de magazines locaux ,les messages sur les couvertures des magazines comme têtu, les inrockuptibles, etc. Ils sont compris très vite cette installation, cette nouvelle manière de présentation d’une couverture. La surprise, l’acceptation et la félicitation pour l’idée sont arrivées très vite. Bien sûr aussi l’indifférence aussi des passants, cela arrive, mais le cote positive est plus important. Cela s’est très bien passé, la première fois qu’a été réussie cette manière d’utiliser le kiosque : la première exposition dans un kiosque de journaux.
Expérience au kiosque à journaux 12 Bvd Henri IV. 75004. Lundi 11 au Dimanche 17 Juin 2012.
Un kiosque plus grand style années quatre vingt, une grande cabine, dans la quelle j’ai pu montrer toute la série complète des réinterprétations de couvertures des magazines. C’est un passage plus tranquille, proche de la sortie du métro Sully Morland Ligne 7. Là aussi de réponses positives comme indifférentes. La localisation est plus difficile parce que le lieu est moins touristique, passant, les gens marchaient vite le long d’un mur en face du kiosque, mais de la même manière les gens ont trouvé intéressant le concept, l’idée.
Informe sobre mi exposicion de pintura en un kiosko de periodicos,Paris,junio 2012
Informe sobre mi experiencia en la intervencion del espacio publico y « la primera exposicion de pintura en un kiosko de periodicos »,con la serie de cuadros al oleo y reinterpretacion de « portadas de revistas ». En los kioskos de Place du Palais Royal y Bvd Henri IV, Paris, Junio 2012.
El primer objetivo de esta experiencia, era la necesidad como pintor , de regresar las imagenes que me sirvieron para realizar la serie « portadas de revistas »,regresarlas a su lugar de origen, que era el kiosko de periodicos. Como lo senalaba en el flyer e invitacion de mi exposicion « las portadas de revistas regresan a su lugar de origen,de donde salieron,el kiosko de periodicos ». Accion que el arte contemporaneo denomina intervencion en el espacio publico. Lo que ocasionara luego esta experiencia de regresar las portadas de revistas al kiosko de periodicos, es un desface lo que en frances llaman « décalage »,un desface, una ruptura en el uso diario,el uso tradicional del kiosko de periodicos y sobre todo un desface en el sistema ya establecido.Algo que nunca me propuse pasara con esta experiencia,mi inquietud,mi afan como artista plastico, estaban mas cerca del lado estetico,como un amigo me dijo « tu lado romantico ». La reaccion frente a este desface lo encontramos en las reacciones de los visitantes a los kioskos de periodicos. Existen dos grupos diferentes de visitantes a mi exposicion, por un lado los clientes que se equivocan al darse con la exposicion de cuadros y que lo unico que buscaban era comprar su periodico y partir rapido, no tienen la costumbre de ver que otras imagenes o revistas se encuentran en el kiosko,los parisinos no tienen esa costumbre de leer los titulares, como si lo suelen hacer en sud america. Mas yo encuentro que con este tipo de visitantes mi accion con esta intervencion en el espacio publico ha logrado tener mas exito,ya que se ha dado esa ruptura en el sistema. El otro tipo de visitantes a mi exposicion en el kiosko periodicos,es la gente que se a detenido a mirar atraida por los cuadros y por el sitio donde estaban siendo expuestos,un kiosko de periodicos. La manera como los cuadros han sido expuestos, en un kiosko de periodicos, hace que se cumpla el objetivo de « poner la tecnica clasica de la pintura al oleo al nivel de lo banal,de lo cotidiano,del entorno urbano y de la publicidad ».Este grupo de visitantes comprendio mas rapido que se trataba de un nuevo concepto del uso del kiosko de periodicos como galeria de arte,como lugar de exposicion de pinturas y luego de decirme frases de felicitaciones, bravo, original idea, sigue asi,excelente tu trabajo etc,se tomaron fotos en frente y dentro del kiosko como un recuerdo,un souvenir en frente de la intervencion,un souvenir en este momento fuera de lo comun.
Juan Diego Vergara
Artista plastico.
El primer objetivo de esta experiencia, era la necesidad como pintor , de regresar las imagenes que me sirvieron para realizar la serie « portadas de revistas »,regresarlas a su lugar de origen, que era el kiosko de periodicos. Como lo senalaba en el flyer e invitacion de mi exposicion « las portadas de revistas regresan a su lugar de origen,de donde salieron,el kiosko de periodicos ». Accion que el arte contemporaneo denomina intervencion en el espacio publico. Lo que ocasionara luego esta experiencia de regresar las portadas de revistas al kiosko de periodicos, es un desface lo que en frances llaman « décalage »,un desface, una ruptura en el uso diario,el uso tradicional del kiosko de periodicos y sobre todo un desface en el sistema ya establecido.Algo que nunca me propuse pasara con esta experiencia,mi inquietud,mi afan como artista plastico, estaban mas cerca del lado estetico,como un amigo me dijo « tu lado romantico ». La reaccion frente a este desface lo encontramos en las reacciones de los visitantes a los kioskos de periodicos. Existen dos grupos diferentes de visitantes a mi exposicion, por un lado los clientes que se equivocan al darse con la exposicion de cuadros y que lo unico que buscaban era comprar su periodico y partir rapido, no tienen la costumbre de ver que otras imagenes o revistas se encuentran en el kiosko,los parisinos no tienen esa costumbre de leer los titulares, como si lo suelen hacer en sud america. Mas yo encuentro que con este tipo de visitantes mi accion con esta intervencion en el espacio publico ha logrado tener mas exito,ya que se ha dado esa ruptura en el sistema. El otro tipo de visitantes a mi exposicion en el kiosko periodicos,es la gente que se a detenido a mirar atraida por los cuadros y por el sitio donde estaban siendo expuestos,un kiosko de periodicos. La manera como los cuadros han sido expuestos, en un kiosko de periodicos, hace que se cumpla el objetivo de « poner la tecnica clasica de la pintura al oleo al nivel de lo banal,de lo cotidiano,del entorno urbano y de la publicidad ».Este grupo de visitantes comprendio mas rapido que se trataba de un nuevo concepto del uso del kiosko de periodicos como galeria de arte,como lugar de exposicion de pinturas y luego de decirme frases de felicitaciones, bravo, original idea, sigue asi,excelente tu trabajo etc,se tomaron fotos en frente y dentro del kiosko como un recuerdo,un souvenir en frente de la intervencion,un souvenir en este momento fuera de lo comun.
Juan Diego Vergara
Artista plastico.
informe sobre exposicion en kiosko de periodicos.
Informe sobre mi experiencia en la intervencion del espacio publico y « la primera exposicion de pintura en un kiosko de periodicos »,con la serie de cuadros al oleo y reinterpretacion de « portadas de revistas ». En los kioskos de Place du Palais Royal y Bvd Henri IV, Paris, Junio 2012.
El primer objetivo de esta experiencia, era la necesidad como pintor , de regresar las imagenes que me sirvieron para realizar la serie « portadas de revistas »,regresarlas a su lugar de origen, que era el kiosko de periodicos. Como lo senalaba en el flyer e invitacion de mi exposicion « las portadas de revistas regresan a su lugar de origen,de donde salieron,el kiosko de periodicos ». Accion que el arte contemporaneo denomina intervencion en el espacio publico. Lo que ocasionara luego esta experiencia de regresar las portadas de revistas al kiosko de periodicos, es un desface lo que en frances llaman « décalage »,un desface, una ruptura en el uso diario,el uso tradicional del kiosko de periodicos y sobre todo un desface en el sistema ya establecido.Algo que nunca me propuse pasara con esta experiencia,mi inquietud,mi afan como artista plastico, estaban mas cerca del lado estetico,como un amigo me dijo « tu lado romantico ». La reaccion frente a este desface lo encontramos en las reacciones de los visitantes a los kioskos de periodicos. Existen dos grupos diferentes de visitantes a mi exposicion, por un lado los clientes que se equivocan al darse con la exposicion de cuadros y que lo unico que buscaban era comprar su periodico y partir rapido, no tienen la costumbre de ver que otras imagenes o revistas se encuentran en el kiosko,los parisinos no tienen esa costumbre de leer los titulares, como si lo suelen hacer en sud america. Mas yo encuentro que con este tipo de visitantes mi accion con esta intervencion en el espacio publico ha logrado tener mas exito,ya que se ha dado esa ruptura en el sistema. El otro tipo de visitantes a mi exposicion en el kiosko periodicos,es la gente que se a detenido a mirar atraida por los cuadros y por el sitio donde estaban siendo expuestos,un kiosko de periodicos. La manera como los cuadros han sido expuestos, en un kiosko de periodicos, hace que se cumpla el objetivo de « poner la tecnica clasica de la pintura al oleo al nivel de lo banal,de lo cotidiano,del entorno urbano y de la publicidad ».Este grupo de visitantes comprendio mas rapido que se trataba de un nuevo concepto del uso del kiosko de periodicos como galeria de arte,como lugar de exposicion de pinturas y luego de decirme frases de felicitaciones, bravo, original idea, sigue asi,excelente tu trabajo etc,se tomaron fotos en frente y dentro del kiosko como un recuerdo,un souvenir en frente de la intervencion,un souvenir en este momento fuera de lo comun.
Juan Diego Vergara
Artista plastico.
El primer objetivo de esta experiencia, era la necesidad como pintor , de regresar las imagenes que me sirvieron para realizar la serie « portadas de revistas »,regresarlas a su lugar de origen, que era el kiosko de periodicos. Como lo senalaba en el flyer e invitacion de mi exposicion « las portadas de revistas regresan a su lugar de origen,de donde salieron,el kiosko de periodicos ». Accion que el arte contemporaneo denomina intervencion en el espacio publico. Lo que ocasionara luego esta experiencia de regresar las portadas de revistas al kiosko de periodicos, es un desface lo que en frances llaman « décalage »,un desface, una ruptura en el uso diario,el uso tradicional del kiosko de periodicos y sobre todo un desface en el sistema ya establecido.Algo que nunca me propuse pasara con esta experiencia,mi inquietud,mi afan como artista plastico, estaban mas cerca del lado estetico,como un amigo me dijo « tu lado romantico ». La reaccion frente a este desface lo encontramos en las reacciones de los visitantes a los kioskos de periodicos. Existen dos grupos diferentes de visitantes a mi exposicion, por un lado los clientes que se equivocan al darse con la exposicion de cuadros y que lo unico que buscaban era comprar su periodico y partir rapido, no tienen la costumbre de ver que otras imagenes o revistas se encuentran en el kiosko,los parisinos no tienen esa costumbre de leer los titulares, como si lo suelen hacer en sud america. Mas yo encuentro que con este tipo de visitantes mi accion con esta intervencion en el espacio publico ha logrado tener mas exito,ya que se ha dado esa ruptura en el sistema. El otro tipo de visitantes a mi exposicion en el kiosko periodicos,es la gente que se a detenido a mirar atraida por los cuadros y por el sitio donde estaban siendo expuestos,un kiosko de periodicos. La manera como los cuadros han sido expuestos, en un kiosko de periodicos, hace que se cumpla el objetivo de « poner la tecnica clasica de la pintura al oleo al nivel de lo banal,de lo cotidiano,del entorno urbano y de la publicidad ».Este grupo de visitantes comprendio mas rapido que se trataba de un nuevo concepto del uso del kiosko de periodicos como galeria de arte,como lugar de exposicion de pinturas y luego de decirme frases de felicitaciones, bravo, original idea, sigue asi,excelente tu trabajo etc,se tomaron fotos en frente y dentro del kiosko como un recuerdo,un souvenir en frente de la intervencion,un souvenir en este momento fuera de lo comun.
Juan Diego Vergara
Artista plastico.
Tuesday, June 19, 2012
Premier exposition de peinture dans un kiosque de journaux avec ma serie de tableaux a huile "couvertures des magazines",Bvd Henri IV (sortie de metro: sully morland). Mardi 12 - Dimanche 17 juin,Paris 2012.
Primera exposicion de pintura en un kiosko de periodicos,con mi serie de cuadros al oleo," portadas de revistas",bvd Henri IV,(salida de metro-sully morland),del martes 12 al domingo 17 junio,Paris,2012.
Sunday, June 17, 2012
Saturday, June 16, 2012
Thursday, June 14, 2012
Tuesday, June 12, 2012
Intervention avec mes tableaux,avec ma serie "couvetures des magazines";kiosque de presse 12 Boulevard Henri IV,75004 (sortie metro sully morland;ligne 7)Paris,Juin 2012.Intervencion en el espacio publico con la serie de pinturas "portadas de revistas",kiosko de periodicos,12 boulevard henri IV,75004(salida del metro sully morland,ligne 7)Paris,Junio 2012.
Deuxième Intervention dans l'espace public avec la premier exposition de peinture dans un kiosque de journaux,Kiosque de press, 12 Boulevard Henri IV (metro sully morland) 75004,Paris,Juin 2012. Segunda Intervencion en el espacio publico,con la primera exposicion de pintura en un kiosko de periodicos.12 boulevard Henri IV,Paris,Junio,2012.
Monday, June 11, 2012
Monday, June 04, 2012
el pintor de la ciudad moderna ,en su exposicion en el kiosko de periodicos.Paris,2012.
Friday, June 01, 2012
Nettoyage du kiosque de press( place palais royal - Paris ),avec l'aide de l'equipe de la technique de mon partenariat Mediakiosk. Exposition "le peintre de la ville moderne" premier exposition de peintures dans un kiosque de journaux" avec la serie couverture de magazines.
Limpieza de kiosko de periodicos (place palais royal - Paris )con la ayuda del equipo de la tecnica de mi auspiciador Mediakiosk.Exposicion "el pintor de la ciudad moderna" " primera exposicion de pinturas en un kiosko de periodicos", con la serie "portadas de revistas".Paris junio 2012.
Limpieza de kiosko de periodicos (place palais royal - Paris )con la ayuda del equipo de la tecnica de mi auspiciador Mediakiosk.Exposicion "el pintor de la ciudad moderna" " primera exposicion de pinturas en un kiosko de periodicos", con la serie "portadas de revistas".Paris junio 2012.