Thursday, January 29, 2009

gainsbourg con mas color

paris de noche vista desde el pompidou

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paris de noche vista desde el pompidou

duchamp en el pompidou

calle parisina

museo pompidou de noche

paris de noche vista desde el pompidou

instalacion hecha por jean dubuffet en el pompidou

Wednesday, January 28, 2009

anadimos color a la experiencia con el publico.

Monday, January 26, 2009

serge gainsbourg

La Pintura como solucion al contacto con el publico.

Una nueva respuesta a la respuesta del publico.
Experiencia Domingo 26 de Enero de 2009
Durante la manana del domingo 26 vino a mi taller, un equipo periodistico de la cadena O'Globo de Brazil,vinieron a entrevistar a los artistas residentes en el 104, hablamos sobre mi proyecto El Archivo Collage y como mi trabajo se a ido transformando cada vez mas,en un trabajo de interaccion con el publico(imagenes de la entrevista estan colgadas mas abajo),tanto del barrio como de la ciudad,le conte a la periodista brasilera como se ha ido desarrollando mi propuesta, desde mi llegada en Octubre del ano pasado,de la busqueda del material de todo registro impreso como caratulas de discos,etc de la estetica post punk y new wave francesa,hasta los ejercicios con el publico que llega a mi tal , usando aun algun icono que represente mi proyecto con una estetica desarrollada antes y ese mismo dia el 26 por la tarde durante mi ultima ouverture, realize ante el publico que vino a mi taller una pintura en vivo,primera vez que hacia esta experiencia en toda mi carrera plastica ,el concepto del 104 es que el publico pueda ver al artista trabajando , en accion,,luego de hacer esta pintura,usando una foto del icono frances ,el cantante Serge Gainsbourg quemando un billete de 500 francos en un programa de television durante la decada de los ochentas ,escena que es todo un icono en el imaginario colectivo de toda una epoca en Francia ,al rededor de gainsbourg dibuje personajes que comentaban la accion ,usando vinetas en blanco a manera de comic ,para que la gente escriba libremente que piensa,las respuestas no tardaron en darse llenandose gran parte de la pintura y para la noche llego un grupo de adolecentes del barrio,llenando de grafismos que simbolisan la zona que es el distrito 19 de Paris el barrio Aubervilliers ,ahora pienso pintar encima con color,componiendo con lo que la gente me dejo.Mi taller esta abierto a todos,el contacto con el barrio se ha iniciado,no es facil,tienen otros gustos,tienen otros codigos,tienen una violencia propia del sitio, que no conosco que se de oidas,que es por la situacion que atraviesan al tratarse de un barrio no muy facil,con grupos de nacionalidades distintas arabes,judios,africanos,chinos y que poco a poco tratare de entender ,mas lo bueno que mi proyecto no se pierde ya que es gente joven,que tienen a la imagen de un idolo,de una portada de disco,de una marca de zapatillas,que los identifica,como grupo ,como persona, similitud con la generacion de la decada de los ochetas,donde la imagen tambien tuvo mucha fuerza sobre los jovenes.Como experiencia plastica,el 104 me ayuda a desarrollar la mecanica de trabajo de enviar una imagen y que el publico conteste,lo que Nicolas Borriaud llamaria Estetica Relacional,el artista como un ente que genera procesos,en mi caso un proceso donde el espectador puede ser creador de la obra de arte,terminando con la pasividad de solo mirar,ahora puede sentirse importante siendo el ,el artista,el hombre de la calle y para el artista con esta experiencia , el beneficio de anular y desprender todo concepto de posesion o de autoria de la obra de arte pasando a ser una obra en proceso y colectiva.
La Importancia de la respuesta espontanea del grupo de adolecentes del barrio,que vienen a mi taller y llenan de grafismos que simbolisan al distrito donde viven con una actitud de imponerse,componiendo al lado de las intervenciones de un publico que si escucha la regla de juego dada por el artista,esa mezcla de reacciones y opiniones es muy interesante y muy rica para mi trabajo,aunque el ego no esta del todo muerto,pasar de estrella de la television brasilera por la manana,a la realidad de un barrio que entra a tu taller y se impone con el grafismo que simbolisa el lugar hacen que el ego se muera en un minuto jaja.

visitante interviene trabajo con imagen de gainsbourg

La Pintura como solucion al contacto con el publico.

muestro imagen de serge gainsbourg a periodista brasilera .

dibujo en carbon sobre tela.

nuevo ejercicio de interaccion con el publico.

Saturday, January 24, 2009

collage grupal con companeros de clase de frances centro matiss.

Friday, January 23, 2009

un poco de baile al final del trabajo.

detalle del collage

collage grupal titulado la nouvelle generation

el grupo de trabajo y el collage final

caratulas de discos de los artistas de la joven generacion actual francesa

grupo trabajando.

cada una escoge a su artista favorito.

despues se reparten las imagenes.

al principio el papel en blanco.

collage grupal.

Thursday, January 22, 2009

bilan de mes trois premiers mois de résidence en le 104.

"L'archive-collage et le post-punk" Juan Diego VERGARA (atelier 3) Bilan de mes trois premiers mois de résidence

Au début de ma résidence au 104 en octobre 2008, j'avais comme idée de confronter mon expérience du post-punk et de la new-wave, à Lima au Pérou, avec la réalité de ce mouvement, ici en France, et particulièrement à Paris. Le travail consistait à comparer les ambiances, les vécus, à distinguer les différences, afin de mettre en valeur des points de friction, ou des continuités, susceptibles de nourrir mon travail. Cette première approche s'est concrétisée, mais a également évolué au contact du public et de mon nouvel environnement. D'emblée, j'ai été confronté à un problème chronologique dans la mesure où mes références de la new-wave ou du post-punk s'établissent entre 1985 à 1989, période pendant laquelle j'ai vécu immergé dans cette musique et dans son esthétique, à l'école, dans la rue, alors qu'en France ces mouvements précédaient cette période. Pour autant mon expérience française me démontre que leur présence matérielle et symbolique est toujours vivace, j'ai donc focalisé mon travail sur les rapports qu'entretiennent ces musiques avec l'esthétique qui les accompagne, et modulé en conséquence l'intitulé de ma résidence en la titrant: "l'archive-collage et le post-punk". Mon travail a pris un tournant singulier, celui d'une esthétique participative et collaborative. J'ai entamé des recherches sur un courant musical qui a manifestement toujours pris un grand soin pour mettre en valeur les aspects esthétiques (de manière assez post-moderne, en revisitant diverses avants-gardes), à travers les fanzines, les revues, les pochettes de disques, les flyers, ou encore les magasins spécialisés dans le "look" (vêtements et chaussures). Je me suis informé, je me suis documenté, notamment grâce à l'appui du 104. Et puis, grâce au public, j'ai pu accumulé une quantité considérable de documentation, d'informations, mais aussi d'anecdotes et d'histoires, ce qui m'a permis de reconstituer, une grande et une petite histoire, une histoire vivante. Je me rappelle toujours des premiers fanzines que m'a apporté un couple du quartier, et puis aussi ces pochettes de disques, des vinyles des années 80, français et anglais, apporté par une jeune collectionneuse rencontré lors d'une ouverture. A l'occasion des rendez-vous, mon travail s'est orienté également sur des questions esthétiques liées à la new-wave. J'ai discuté l'usage du noir et blanc, pour cela je me suis appuyé sur leur emploi dans le cinéma et la vidéo par Henri Alekan et Anton Corbjin. L'association du noir et du blanc est essentielle pour comprendre la new-wave, le post-punk, les sentiments qu'ils véhiculent, un retour sur soi, une introspection teinté de romantisme. Un autre rendez-vous a été consacré au look et à l'esthétique des clips vidéos. L'émergence du clip est concomitante de ces mouvements musicaux, ils ont grandi ensemble. Ce fut l'occasion de faire connaître des groupes comme Mecano, Union, Jas, et tant d'autres. Au cours des ouvertures, j'ai du développé divers types d'interaction avec le public en raison de l'affluence de personnes qui visitent mon atelier - les week-ends environ 300 personnes en deux heures, et entre 50 et 90 personnes durant le reste de la semaine (mercredi, jeudi, vendredi), dimanche dernier 524 personnes ont visité l'atelier au cours des deux heures trente d'ouverture. J'ai donc mis à disposition du public diverses procédures au choix. J'utilise des pochettes de disques que je mets à la portée du public pour qu'il lui redonne une nouvelle esthétique, en intervenant sur elles ou à partir d'elles, avec des feutres, des marqueurs, en les déchirant, en les recombinant: c'est ainsi que se forme de manière spontanée des compositions collectives sur les murs de l'atelier. Je travaille également avec le public au travers de questions écrites sur le mur. Je propose aux personnes qui passent au 104 d'y répondre et d'intervenir. Ce qui m'importe c'est que la personne qui rentre dans l'atelier cesse d'être l'habituel spectateur passif et fasse partie de l'oeuvre, en y participant et en apportant son témoignage. Je m'inspire ainsi de l'idée que Picasso et Braque avaient du Collage: "le Collage a ainsi mis a mal l'idée traditionnelle que de génie il ne peut y en avoir qu'un, si quiconque peut créer une oeuvre d'art avec des papiers collés et des objets trouvés alors quiconque peut-être un artiste". Cette manière de voir et cette technique ont inauguré une nouvelle relation entre le public et l'oeuvre, parce qu'elle a amené le public à aller au-delà de la simple contemplation, en reconstruisant la signification de l'oeuvre en fonction des pistes qu'apportent les matériaux collés sur le tableau. Une fois extrait de leur contexte habituel, ces matériaux deviennent énigmatiques, et au contact du public ils acquièrent une nouvelle dimension. Et c'est ce qui arrive dans le procès de création et de recherche de mon travail. Le contact avec le public, au travers de la musique, m'a fait prendre conscience, et de ce processus, et du pouvoir de la musique. Les gens qui ont connu les années 80, et qui ont aujourd'hui 40 ans, lorsqu'ils écoutent cette musique c'est tout un monde qui revient. Pour leurs enfants, c'est encore un autre type d'expérience, mais la musique continue à manifester ses puissants effets. C'est pour cela que je souhaitera réalisé - toujours grâce à la musique comme fil conducteur - un travail parallèle à celui que je fais avec la new-wave. Dans mon atelier, très souvent ouvert au public, je reçois habituellement la visite de jeunes garçons du 19°, et j'ai également connu des élèves d'un proche lycée. Avec eux, je souhaiterai mettre en place un système similaire mais adapté à leurs goûts musicaux. J'aimerai voir les gens du quartier, et la jeunesse particulièrement, créer sa propre oeuvre d'art, faire partie du 104, ce qu'ils ont à dire mérite que l'on s'y attarde, et le 104 permet cela. Juan Diego Vergara Artiste-plasticien

informe de los tres primeros meses de residencia en el 104.

Informe de los 3 primeros meses de residencia en el taller 3 del 104 :
EL archivo collage y el post punk .
de Juan Diego Vergara.


Al inicio de mi residencia en el 104 tenia planteado el hacer una comparacion de la movida new wave y post punk limena con la movida new wave y post punk parisina,poniendo como anos de referencia de 1985 a 1989,durante mi investigacion el titulo del proyecto cambia a « EL Archivo Collage y el post punk « ,ya que durante mi investigacion me doy con que la new wave y el post punk fueron vividos en Paris durante otros anos, fines de los setenta e inicios de los ochentas .Puse al inicio los anos de 1985 a 1989 ;como referencia ,ya que fueron anos en los cuales escuche y consumi mucha de esta musica y estetica,en el colegio y en el barrio en Lima. Esta etapa actual de mi trabajo plastico, es un trabajo testimonial,el ilo conductor que uniria a ambas movidas Francia y Peru o mejor dicho Lima-Paris ,seria la investigacion de la estetica post punk y new wave desarrollada en fanzines,revistas,caratulas de discos, flyers ,anuncios de tiendas de ropa y zapatos en Paris .El material recibido en estos primeros tres meses de residencia ,desde que llegue en octubre del 2008 al 104,ha sido considerable.Primero fotocopias de fanzines de la epoca ,donacion de una pareja del barrio y luego una considerable cantidad de caratulas de viniles ochenteros, ingleses y franceses, material que llega a mis manos por una joven francesa coleccionista de musica , que vino a mi taller en uno de mis ouvertures .
Carataulas de discos que pongo al alcance del publico y ellos le dan una nueva estetica , interviniedo las caratulas con plumones(rotuladores) de colores , dandole otro concepto ,formandose de una manera espontanea composiciones colectivas sobre la pared del taller .
Durante los rendez vous ; mi trabajo ha estado enfocado en hablar de temas sobre la estetica de la new wave basandome en el color como fue el uso del blanco y negro en el cine y el video , para ello use el trabajo Henry Alekan y Anton Corbjin.Blanco y negro como colores representativos de un movimiento musical basado en la introspeccion, como fue el post punk y la new wave y por lado del look y la estetica en el video clip con el rendez vous clips new wave latinoamericanos, proyectando videos de grupos comomecano,union,virus,jas,etc .
Durante los ouvertures ,la idea de desarrollar este tipo de ejercicios con el publico, se da al ver llegar un numero considerable de gente a mi taller,300 personas en dos horas,los fines de semana y entre 50 y 90 entre miercoles y viernes ,recibiendo este ultimo domingo 18 de Enero del 2009 ,524 personas en dos horas y media .
Trabajo con el publico a traves de preguntas hechas en la pared de mi taller, propongo que el publico conteste e intervenga dejandose de ser el habitual espectador pasivo y forme parte de la obra de arte ,siendo el creador de la misma y dandome con su testimonio escrito una idea del contexto social de la epoca . Retomando asi la idea por parte de Picasso y Braque :
"El Collage también puso en duda la idea tradicional de que "un genio no hay mas que uno",por que si cualquiera puede crear una obra de arte al pegar papeles u objetos encontrados sobre un lienzo entonces "cualquiera puede ser artista".Ademas esta tecnica inauguro una NUEVA RELACION ENTRE LA OBRA Y EL ESPECTADOR ,POR QUE OBLIGO AL PUBLICO A IR MAS ALLA DE LA CONTEMPLACION ,A RECONSTRUIR EL SIGNIFICADO DE LA OBRA SEGUN LAS PISTAS CLAVES QUE APORTEN LOS MATERIALES PEGADOS SOBRE EL CUADRO,que una vez que se extraen de su espacio habitual se vuelven enigmaticos y adquieren caracteristicas propias del contacto con el publico y este mismo interviene en el proceso de creacion e investigacion de mi trabajo. el contacto con el publico me hizo darme cuenta, que la musica en este caso la new wave y el post punk para algunos,siguen siendo escuchados por gente que vivio esta movida durante la decada de los ochentas y ahora con 4O anos de edad y con hijos la siguen oyendo,a esto se suma la experiencia de estar en Paris,conocer gente nueva,nuevas maneras de pensar,la nostalgia,la introspeccion,lo romantico,lo depresivo,el amor,todos elementos que se vuelven a dar,los problemas los puedes volver arte,de ahi lo que escribo sobre el papel de uno de los ejercicios de interaccion con el publico :"el post punk y la new wave fueron movimientos musicales que transmitian una fuerte carga emocional,introspectiva,ellos marcaron a una generacion mundial" el personaje dice :" y que hago ahora con todo el amor que me diste ,la new wave tiene que ayudarme"
La pregunta: Crees tu en el poder de la musica como motor para seguir adelante? escribelo o dibujalo.

Al estar mi taller casi siempre abierto al publico,recibi la visita de un grupo de ninos del distrito 19 y de un grupo de estudiantes de un colegio cercano al barrio, con los cuales me he planteado el empesar a armar un trabajo paralelo a mi investigacion ;basado en sus preferencias musicales,cosas tan basicas como que musica te gusta o a que cantante admiras en la actualidad ,siguiendo el ilo conductor de mi investigacion creado por la musica e iniciado por gustos propios como la new wave y el post punk ;basandome en el uso de impresiones de cartaulas de discos y de imagenes de sus artistas favoritos siguiendo la mecanica del archivo collage,pero con un estilo de musica mas actual ,la musica del adolecente del barrio del distrito 19, desarrollando asi un trabajo paralelo ,viendo el que la gente del barrio,cree una obra de arte,se sienta parte del 104 ,su opinion importa,el 104 les da la opotunidad de hacerlo.


Juan Diego Vergara
Artista Plastico

Sunday, January 18, 2009

524 asistentes a mi taller,en dos horas , domingo 18 de enero,el publico intervino el nuevo trabajo.

flores y texto para andy warhol.

nuevos textos a los personajes.

grace jones con texto del publico.

pacadis intervenido.

textos del publico a nuevo trabajo.

trabajos intervenidos.

asistente a mi taller interviene a alan pacadis.